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NATURE À VENDRE – LES LIMITES DES SERVICES ÉCOSYSTÉMIQUES

Cet ouvrage met en évidence les limites de l’approche des services écosystémiques pour mesurer et évaluer monétairement les écosystèmes et l’usage que l’espèce humaine en tire. L’auteur montre comment cette approche a renforcé et multiplié les tentatives d’évaluation monétaire de la biodiversité.

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Date : 20 septembre 2014
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Pour l’auteur, l’instrumentalisation de la nature puis sa quantification par l’évaluation monétaire, participent d’une dynamique de marchandisation de la nature avec des stratégies de conservation adossées à des logiques de marché.

Si l’on sait depuis longtemps que le bien-être humain dépend en partie de la nature, cette dépendance est aujourd’hui mise en exergue à travers la notion de services écosystémiques, définis comme étant les bénéfices que les êtres humains tirent du fonctionnement des écosystèmes.

Cet ouvrage met en évidence les limites de cette approche pour penser notre rapport à la nature et notre responsabilité vis-à-vis de sa protection. Après un aperçu historique de la conception des relations entre le bien-être humain et le fonctionnement des écosystèmes, l’auteure décrit l’émergence des « services écosystémiques » comme nouvelle norme dans le monde de la conservation. Elle montre comment cette approche a renforcé et multiplié les tentatives d’évaluation monétaire de la biodiversité et la façon dont ces deux mouvements, d’instrumentalisation de la nature puis de quantification des bénéfices qu’on en tire, participent d’une dynamique de marchandisation de la biodiversité.

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