La toxicité mitochondriale des SDHI n'est toujours pas prise en compte lors des tests règlementaires. Deux experts témoignent ici de l'impasse dans laquelle se trouve l'évaluation des risques des pesticides en France.
Depuis l’interdiction des néonicotinoïdes en 2016, les lobbys de l’agrochimie n’ont jamais cessé leurs offensives pour faire perdurer l’utilisation des « tueurs d’abeilles ».
En 2024, POLLINIS a lancé une étude inédite pour documenter la présence de pesticides dans les aires naturelles protégées de France. Parmi celles-ci, la Réserve Naturelle Confluence Garonne-Ariège.
L'appel de Lorient soutient une série de mesures pour développer la Bio, une agriculture biologique et écologique. Lancé par Bio Consom'acteur, il réunit des dizaines de personnalités et d'organisations dont POLLINIS.
En mai, POLLINIS lançait une campagne d’interpellation pour permettre aux citoyens d'exiger des candidats qu’ils s'engagent, une fois élus, à renforcer le système d'évaluation des risques des pesticides pour les pollinisateurs.
Le 29 juin 2023, le tribunal administratif de Paris condamnait l'État à prendre, avant le 30 juin 2024, les mesures pour réduire l’usage des pesticides et protéger les eaux souterraines du pays. Depuis sa condamnation, il refuse ouvertement d’exécuter la décision et n’a fait que reculer.
Dans le cadre des élections législatives 2024, POLLINIS livre son analyse des positions des trois principaux blocs politiques de ces élections législatives : le Nouveau Front Populaire, Ensemble pour la République et le Rassemblement national.
Ce samedi 25 mai s’est tenue, à Paris, la journée contre l’agrochimie. POLLINIS, à l’instar d’autres associations, s’est joint à cet évènement pour sensibiliser et interpeller sur l’urgence d’une transition agricole respectueuse du Vivant.
Dans deux lettres et aux côtés de nombreuses organisations, POLLINIS a alerté deux commissaires européens ainsi que les candidats aux élections européennes des dangers sanitaires et environnementaux des pesticides.
Après une victoire historique contre l’État, les associations du recours Justice Pour Le Vivant ont fait appel pour obtenir une injonction du juge qui obligerait l’État à réviser la procédure d’évaluation des risques des pesticides pour la biodiversité.