Ce vendredi 14 mars, le Conseil de l’Union européenne a voté en faveur de la déréglementation des plantes issues des nouvelles techniques génomiques, exonérant la majorité de ces OGM de toute évaluation des risques.
La Pologne a publié ce 19 février sa troisième proposition relative aux nouveaux OGM. L'adoption de ce texte par le Conseil de l'UE s'avère probable, et accélèrerait grandement le pas des négociations.
Plus de 200 organisations (agriculteurs, sélectionneurs, société civile) issues de 20 pays de l'Union européenne ont publié une déclaration commune alertant sur le projet de dérégulation des nouveaux OGM sur le continent.
Alors que la Commission européenne entend déréguler les nouveaux OGM sur le continent, POLLINIS donne la parole à Frédéric Jacquemart (GIET) et Isabelle Goldringer (INRAE) pour en explorer les conséquences désastreuses sur le vivant.
Le 15 janvier 2025, POLLINIS et 13 organisations ont demandé au Premier Ministre de s'opposer à la dérégulation des nouveaux OGM, alors que les négociations à ce sujet continuent aujourd'hui au Conseil de l'Union européenne.
Risques pour la biodiversité et les pollinisateurs, privatisation du vivant... POLLINIS analyse les 7 principaux risques posés par le projet de dérégulation des nouveaux OGM en Europe pour les écosystèmes, l’agriculture et les consommateurs.
L'appel de Lorient soutient une série de mesures pour développer la Bio, une agriculture biologique et écologique. Lancé par Bio Consom'acteur, il réunit des dizaines de personnalités et d'organisations dont POLLINIS.
Aux côtés de 14 organisations, POLLINIS a appelé avec succès les eurodéputés à s'opposer à l'importation de 8 OGM lors d'un vote en commission environnement qui s'est déroulé le 21 octobre.
Alors que l'Union européenne pourrait ouvrir ses portes aux nouveaux OGM sans évaluation des risques préalables, POLLINIS répond à six des mirages déployés par l'agrochimie et les institutions européennes.
Le congrès régional de l’UICN s’est tenu à Bruges du 30 septembre au 3 octobre 2024. L’Union internationale pour la conservation de la nature semble continuer à ouvrir la voie à l’usage de la biologie de synthèse.