A l'approche du second vote de la proposition de loi Duplomb, les associations de Justice pour le Vivant ont adressé, le 24 juin 2025, une note d'information aux parlementaires pour leur rappeler l'urgence d'agir.
Ce 6 juin, les associations de Justice pour le vivant se sont rassemblées devant la cour administrative d’appel de Paris, pour une nouvelle audience contre l’Etat.
Ce vendredi 6 juin marque un tournant dans le dossier Justice pour le Vivant. La rapporteure publique recommande d'ordonner à l’Etat d’actualiser les protocoles d’évaluation des pesticides jugés défaillants.
À quelques jours du procès en appel de l’État, les associations de Justice pour le Vivant demandent une réforme des protocoles d'évaluation des pesticides.
Le 29 juin 2023, le tribunal administratif de Paris condamnait l'État à prendre, avant le 30 juin 2024, les mesures pour réduire l’usage des pesticides et protéger les eaux souterraines du pays. Depuis sa condamnation, il refuse ouvertement d’exécuter la décision et n’a fait que reculer.
Après une victoire historique contre l’État, les associations du recours Justice Pour Le Vivant ont fait appel pour obtenir une injonction du juge qui obligerait l’État à réviser la procédure d’évaluation des risques des pesticides pour la biodiversité.
Phyteis, le lobby de l'agrochimie en France, confirme sa volonté d'intervenir en appel, dans le recours Justice pour le Vivant. Le plan Ecophyto 2030 dévoilé aujourd'hui, symbolise le renoncement du gouvernement face à ses obligations.
Ce lundi 20 novembre, les ONG de Justice pour le Vivant ont transmis leurs arguments à la cour administrative d’appel de Paris dans leur mémoire complémentaire qui demande une amélioration de l'évaluation des risques des pesticides.
Après une première victoire historique, les ONG de Justice pour le Vivant font appel pour obliger l’État à revoir l’évaluation des risques des pesticides avant leur mise sur le marché.
Le Tribunal administratif de Paris a rendu un verdict historique dans le cadre de Justice pour le Vivant. Il reconnaît la responsabilité de l’État dans l’effondrement du Vivant et ses insuffisances dans l’évaluation des risques des pesticides.