Plus de 200 organisations (agriculteurs, sélectionneurs, société civile) issues de 20 pays de l'Union européenne ont publié une déclaration commune alertant sur le projet de dérégulation des nouveaux OGM sur le continent.
Alors que les preuves de la toxicité des SDHI s'accumulent, ces pesticides restent massivement utilisés en France. En cause, des failles dans l'évaluation règlementaire que Laurence Huc, toxicologue à l'INRAE, détaille pour POLLINIS.
Alors que la Commission européenne entend déréguler les nouveaux OGM sur le continent, POLLINIS donne la parole à Frédéric Jacquemart (GIET) et Isabelle Goldringer (INRAE) pour en explorer les conséquences désastreuses sur le vivant.
Dans une tribune publiée sur France info le 4 février, et cosignée par plus de 1 500 personnes et organisations, 20 groupes mutualistes alertent sur les dangers des pesticides et demandent un changement de cap agricole.
Dans une tribune publiée le 3 février par Le Monde, 18 ONG environnementales dont POLLINIS, soutenues par la Confédération Paysanne, dénoncent les projets de la proposition de loi Duplomb.
Le 15 janvier 2025, POLLINIS et 13 organisations ont demandé au Premier Ministre de s'opposer à la dérégulation des nouveaux OGM, alors que les négociations à ce sujet continuent aujourd'hui au Conseil de l'Union européenne.
La CJUE a rendu ce jeudi 16 janvier 2025 un arrêt historique obligeant la Commission européenne à donner accès à des documents sur les délibérations des Etats membres au sujet de la régulation des pesticides en Europe.
Ce jeudi 16 janvier, la Cour de justice de l’Union européenne a rendu un arrêt capital pour la transparence de l’UE. Cette décision favorisera l’accès à l'information sur les délibérations concernant la régulation des pesticides.
Depuis plusieurs mois, une série d'attaques vise les outils de protection de la biodiversité, désignés comme adversaire de l'agriculture. Fer de lance de ces attaques : la proposition de loi « Duplomb ».
La toxicité mitochondriale des SDHI n'est toujours pas prise en compte lors des tests règlementaires. Deux experts témoignent ici de l'impasse dans laquelle se trouve l'évaluation des risques des pesticides en France.