Après la victoire historique devant la cour administrative d’appel de Paris le 3 septembre 2025, l'Etat et le lobby des pesticides, Phytéis se pourvoient en cassation.
Nous, associations, organisations d’agriculteurs, opérateurs de la filière bio, dénonçons la proposition de règlement européen sur les plantes issues des NTG en cours de discussion, qui fait peser des risques majeurs sur l’agriculture et notre alimentation.
Entretien avec Antoine Bailleux, l'avocat de POLLINIS dans le cadre du recours sur le boscalid, pour comprendre la portée de la décision rendue par le Tribunal de l'UE ce 19 novembre.
Massivement utilisés pour tuer les champignons et moisissures dans les cultures, les pesticides de la famille des SDHI ont des effets néfastes sur un grand nombre d’espèces et notamment les pollinisateurs.
POLLINIS dénonce devant le Tribunal de l’UE les prolongations d’autorisation de mise sur le marché abusives dont bénéficie le boscalid, sans nouvelle évaluation des risques. Dans son arrêt, la justice nous donne raison et rappelle que ces prolongations ne doivent pas être automatiques.
Instrumentalisé par l’agroindustrie, le rapport de l'INRAE souligne en réalité la nécessité pour l’État d’investir massivement, pour développer des solutions sans pesticides et soutenir les agriculteurs dans leur transition. Une volonté politique absente du budget 2026.
POLLINIS alerte sur les risques majeurs que font peser les propositions de règlement concernant les organismes issus des NGT sur l'agriculture et l'alimentation.
Plusieurs amendements proposés lors de l’examen du budget à l’Assemblée pourraient affaiblir directement les finances des associations de protection de l’environnement.
Le 23 octobre 2025, POLLINIS était à Lyon pour les Rencontres des insectes pollinisateurs, organisées par l’association Arthropologia. L’objectif était de rejoindre des acteurs engagés dans la protection du Vivant afin de partager nos connaissances sur le déclin silencieux des pollinisateurs et de la biodiversité.
POLLINIS a déposé sa contribution suite à la demande d’autorisation de la substance active Ledprona. L’Union Européenne évalue pour la première fois la demande d'autorisation d'une substance active de pesticide ARNi, sans avoir défini de règles adaptées à ces nouveaux produits.