POLLINIS a déposé sa contribution suite à la demande d’autorisation de la substance active Ledprona. L’Union Européenne évalue pour la première fois la demande d'autorisation d'une substance active de pesticide ARNi, sans avoir défini de règles adaptées à ces nouveaux produits.
Le 15 octobre 2025, à Abou Dabi, les membres du Congrès de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) ont rejeté le moratoire porté par POLLINIS et ont adopté la politique sur la biologie de synthèse.
Alors que l’UICN décidera s'il convient de promouvoir le génie génétique comme outil de conservation de la nature, plus de 90 organisations, dont POLLINIS, réclament un moratoire sur la modification génétique de la nature.
POLLINIS, Notre Affaire à Tous et Générations Futures déposent deux recours en justice auprès du Conseil d’Etat pour demander l’annulation d'un décret qui réduit l'indépendance de l'ANSES.
C’est une véritable révolution dans la lutte contre les pesticides : la cour administrative d’appel enjoint à l’État de réformer ses protocoles d’évaluation et d’autorisation des pesticides, afin de les aligner sur les connaissances scientifiques actuelles.
Victoire des associations de Justice pour le Vivant ! La cour administrative d'appel ordonne à l'Etat de rendre plus protecteurs les protocoles d'évaluation des pesticides.
Le Conseil constitutionnel vient de rendre une décision majeure, avec la censure de la dérogation prévue à l’article 2 de la loi Duplomb, qui devait permettre le retour des néonicotinoïdes.
La loi Duplomb a été adoptée au mépris des principes de clarté et de sincérité du débat parlementaire. Les associations multiplient leurs efforts en déposant une contribution extérieure devant le Conseil constitutionnel.
Ce vendredi 6 juin marque un tournant dans le dossier Justice pour le Vivant. La rapporteure publique recommande d'ordonner à l’Etat d’actualiser les protocoles d’évaluation des pesticides jugés défaillants.
L’Assemblée nationale a rejeté la proposition de loi Duplomb. Un tour de passe-passe directement initié par les défenseurs du texte, pour empêcher le débat démocratique.