Après la victoire historique devant la cour administrative d’appel de Paris le 3 septembre 2025, l'Etat et le lobby des pesticides, Phytéis se pourvoient en cassation.
POLLINIS dénonce devant le Tribunal de l’UE les prolongations d’autorisation de mise sur le marché abusives dont bénéficie le boscalid, sans nouvelle évaluation des risques. Dans son arrêt, la justice nous donne raison et rappelle que ces prolongations ne doivent pas être automatiques.
POLLINIS alerte sur les risques majeurs que font peser les propositions de règlement concernant les organismes issus des NGT sur l'agriculture et l'alimentation.
POLLINIS a déposé sa contribution suite à la demande d’autorisation de la substance active Ledprona. L’Union Européenne évalue pour la première fois la demande d'autorisation d'une substance active de pesticide ARNi, sans avoir défini de règles adaptées à ces nouveaux produits.
Le 15 octobre 2025, à Abou Dabi, les membres du Congrès de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) ont rejeté le moratoire porté par POLLINIS et ont adopté la politique sur la biologie de synthèse.
Alors que l’UICN décidera s'il convient de promouvoir le génie génétique comme outil de conservation de la nature, plus de 90 organisations, dont POLLINIS, réclament un moratoire sur la modification génétique de la nature.
POLLINIS, Notre Affaire à Tous et Générations Futures déposent deux recours en justice auprès du Conseil d’Etat pour demander l’annulation d'un décret qui réduit l'indépendance de l'ANSES.
C’est une véritable révolution dans la lutte contre les pesticides : la cour administrative d’appel enjoint à l’État de réformer ses protocoles d’évaluation et d’autorisation des pesticides, afin de les aligner sur les connaissances scientifiques actuelles.
Victoire des associations de Justice pour le Vivant ! La cour administrative d'appel ordonne à l'Etat de rendre plus protecteurs les protocoles d'évaluation des pesticides.
Le Conseil constitutionnel vient de rendre une décision majeure, avec la censure de la dérogation prévue à l’article 2 de la loi Duplomb, qui devait permettre le retour des néonicotinoïdes.