Présentation de notre bilan 2016 et nos projets pour la nouvelle année. Avec votre aide, nous ferons encore plus et mieux en 2017 en poursuivant notre lutte pour sauver les abeilles et les pollinisateurs sauvages.
Bonne année à tous au nom de toute l’équipe POLLINIS qui vous présente ici son bilan 2016 en quelques chiffres et en actions et ses projets pour 2017. Lutte pour l’abeille noire, les alternatives agricoles, contre les néonics...
Présentation de notre bilan 2016 et nos projets pour la nouvelle année. Avec votre aide, nous ferons encore plus et mieux en 2017 en poursuivant notre lutte pour sauver les abeilles et les pollinisateurs sauvages.
Dans le cadre de la saisine de l’ANSES, POLLINIS publie sa contribution au débat public à travers le rapport « Évaluation des intérêts agronomiques et risques des néonicotinoïdes, et des autres produits et méthodes ».
Contribution au bilan que doit réaliser l’Anses, qui vise à comparer les bénéfices et les risques liés aux usages des pesticides néonicotinoïdes autorisés en France avec ceux liés aux usages de produits de substitution.
La Fête de l’abeille noire a pour but de faire connaître notre abeille locale et d’alerter le public sur sa disparition rapide. La troisième édition s’est tenue du 5 au 6 novembre au sein du Conservatoire de l’abeille noire d’Île-de-France.
L’arrivée en France de miel dilué, trafiqué est l’un des pires fléaux pour l’industrie apicole. Les Français consomment chaque année 40 000 tonnes de miel. Mais les apiculteurs français peinent à en produire 15 000 tonnes.
La « Fête de l’abeille noire » a pour but de faire connaître notre abeille locale et d’alerter le public sur sa disparition rapide. La troisième édition s’est tenue en plein cœur du Conservatoire de l’abeille noire d’Île-de-France.
« Depuis 1 million d’années, l'abeille noire butine nos fleurs d'Europe de l'Ouest. Si nous ne la protégeons pas, elle pourrait disparaître en 15 ans. » Yves Élie Laurent, vice-président de la FEdCAN nous parle de l'abeille noire.
Sauvons l'abeille locale ! Si aucune mesure n’est prise rapidement, c’est tout le travail de préservation qui pourrait voler en éclats, et tout espoir de voir un jour ce pollinisateur vital à la biodiversité continuer à butiner.