Bonne année à tous au nom de toute l’équipe POLLINIS qui vous présente ici son bilan 2016 en quelques chiffres et en actions et ses projets pour 2017. Lutte pour l’abeille noire, les alternatives agricoles, contre les néonics...
Présentation de notre bilan 2016 et nos projets pour la nouvelle année. Avec votre aide, nous ferons encore plus et mieux en 2017 en poursuivant notre lutte pour sauver les abeilles et les pollinisateurs sauvages.
Dans le cadre de la saisine de l’ANSES, POLLINIS publie sa contribution au débat public à travers le rapport « Évaluation des intérêts agronomiques et risques des néonicotinoïdes, et des autres produits et méthodes ».
Contribution au bilan que doit réaliser l’Anses, qui vise à comparer les bénéfices et les risques liés aux usages des pesticides néonicotinoïdes autorisés en France avec ceux liés aux usages de produits de substitution.
Alerte néonicotinoïdes : une interdiction en trompe-l'oeil, rencontre avec Philippe Ruchat, vice-président du Conservatoire de l'abeille noire d’Île-de-France, la phase 2 du projet Anti-Frelon Asiatique a pu être enclenchée.
POLLINIS organise son petit-déjeuner de rentrée le 28 septembre 2016. L’occasion pour les journalistes de venir rencontrer l’équipe dans ses bureaux et de prendre connaissance de ce que prépare l’association.
Pour faire face aux impacts négatifs des pesticides, les représentants politiques misent sur l’encadrement des usages. Cette notion vague a donné lieu à des mesures insuffisantes, inapplicables et difficilement contrôlables.
Les agro-chimistes disposent déjà de pesticides conçus pour remplacer les néonicotinoïdes, qui seront définitivement interdits en France en 2020. Leurs impacts sur les abeilles sont dramatiquement identiques.
Le 22 juin 2016, les députés ont voté l'interdiction des néonics dans le cadre du projet de loi « Biodiversité ». Elle doit prendre effet dans deux ans, en septembre 2018, avec des dérogations possibles jusqu'au 1er juillet 2020.
Le glyphosate est le désherbant chimique le plus utilisé dans le monde, et celui que l’on retrouve le plus fréquemment dans l’environnement. Il agit en bloquant un enzyme dont la plante a besoin pour fabriquer acides aminés et protéines.