Contrairement aux déclarations du Premier Ministre, l’interdiction des néonicotinoïdes en France est loin d’être acquise. Une nouvelle version du décret d’application pourrait obliger la France à faire des concessions.
POLLINIS lance une pétition pour obliger le gouvernement à maintenir l’interdiction des pesticides tueurs d’abeilles, face à la Commission européenne. Dans un document confidentiel, celle-ci évoque une violation de ses règlements.
POLLINIS lance une pétition pour obliger le gouvernement français à maintenir l'interdiction des pesticides tueurs d'abeilles. Dans un document confidentiel, la Commission européenne a vivement critiqué l'interdiction des néonics.
La Charte 2017 de POLLINIS pour les pollinisateurs a recueilli 280 000 signatures de citoyens et électeurs potentiels. Elle demande aux candidats de s'engager pour la protection des abeilles, et une agriculture pérenne.
À un mois du premier tour des élections présidentielles, POLLINIS demande des engagements pour les abeilles et les pollinisateurs sauvages aux candidats et propose à ses sympathisants de signer une pétition.
Les pesticides destinés aux jardiniers amateurs ne sont majoritairement pas conformes à la règlementation selon une enquête de la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes.
Dans le cadre de la saisine de l’ANSES, POLLINIS publie sa contribution au débat public à travers le rapport « Évaluation des intérêts agronomiques et risques des néonicotinoïdes, et des autres produits et méthodes ».
Contribution au bilan que doit réaliser l’Anses, qui vise à comparer les bénéfices et les risques liés aux usages des pesticides néonicotinoïdes autorisés en France avec ceux liés aux usages de produits de substitution.
Pour faire face aux impacts négatifs des pesticides, les représentants politiques misent sur l’encadrement des usages. Cette notion vague a donné lieu à des mesures insuffisantes, inapplicables et difficilement contrôlables.
Les agro-chimistes disposent déjà de pesticides conçus pour remplacer les néonicotinoïdes, qui seront définitivement interdits en France en 2020. Leurs impacts sur les abeilles sont dramatiquement identiques.