Présentation de notre bilan 2017 et nos projets pour la nouvelle année. Avec votre aide, nous ferons encore plus et mieux en 2018 en poursuivant notre lutte pour sauver les abeilles et les pollinisateurs sauvages.
POLLINIS a rencontré pour une interview en octobre 2017 les chercheurs Caspar Hallmann et Hans de Kroon, auteurs d’une étude qui révèle que plus de 75 % des insectes ailés ont disparu d’Allemagne et donc d'Europe en moins de 30 ans.
Remise officielle de la pétition #StopNéonics! à la Présidence du Conseil de l'UE, notre conférence au Parlement européen « Néonicotinoïdes : une interdiction à venir ? », retour sur la dernière Fête de l’abeille noire.
The conference "Neonicotinoids: Is a Total Ban in Sight?", organised by the NGO POLLINIS, was held on Tuesday, 7 November, 2017 at the European Parliament in Brussels, bringing together five leading scientists.
La conférence « Néonicotinoïdes : vers une interdiction totale ? », organisée par l'ONG POLLINIS, s'est tenue le mardi 7 novembre 2017 au Parlement européen à Bruxelles. Cet événement a permis de réunir cinq scientifiques de renom.
POLLINIS a rencontré le Dr. Fabio Sgolastra, spécialiste européen de l’impact des pesticides sur les abeilles, chercheur en entomologie générale et appliquée au département des Sciences Agricoles de l’Université de Bologne.
POLLINIS interpelle les eurodéputés de la Commission Agriculture et Développement Rural pour qu'ils votent les amendements interdisant les néonics en Europe.
La conférence « Néonicotinoïdes : Une interdiction à venir ? », organisée par POLLINIS s'est tenue hier au Parlement européen. Devant la disparition massive des insectes, cinq scientifiques appellent l’UE à prendre des mesures urgentes.
Pour sauver l’abeille noire, notre abeille locale aujourd’hui menacée, POLLINIS lance une campagne de soutien auprès de ses sympathisants afin de construire La Vallée de l’abeille noire, le pays où les abeilles ne meurent pas.
Alors que les néonicotinoïdes sont en passe d’être interdits en France et que le moratoire partiel européen est en cours de réévaluation, les lobbys agrochimiques s’apprêtent à les remplacer par une molécule tout aussi toxique, le sulfoxaflor.