Chercheur au CNRS et généticien de l’abeille, spécialiste de l’abeille noire et président de la FEdCAN (Fédération européenne des Conservatoires de l’abeille noire), Lionel Garnery nous parle de l'abeille locale.
POLLINIS en appelle aux organismes décisionnaires de l’Union pour qu'ils édictent des règles garantissant la sauvegarde des sous-espèces et écotypes d’abeilles mellifères indigènes en Europe.
List of signatories of the Statement of principle on the need for rules to protect the subspecies and ecotypes of honey bees indigenous to the territory of the European Union to protect dependent heritage, ecological and cultural interests.
Statement of principle on the need for EU rules to protect the subspecies and ecotypes of honey bees indigenous to the territory of the European Union in order to protect dependent heritage, ecological and cultural interests.
Soutenu par les citoyens, le projet anti-frelon asiatique de POLLINIS, lancé en 2016, poursuit sa progression avec un prototype plus léger et sans compresseur, qui sera testé sur le terrain dès le printemps 2018.
Le sort des « tueurs d’abeilles » toujours en suspens à Bruxelles, nos actions pour obtenir un bouclier juridique pour nos abeilles, le développement d'un nouveau prototype pour détruire les nids de frelons asiatiques.
Les études scientifiques qui mettent en lumière l’extrême toxicité des néonicotinoïdes ont beau s’accumuler - près de 80 % des insectes ailés ont disparu en Europe en moins de trente ans - la Commission européenne prend son temps.
C’est une première : grâce à la campagne que mène POLLINIS,le sort des abeilles locales est enfin évoqué à Bruxelles ! Le 23 janvier 2018, un vote crucial pour l’avenir de nos pollinisatrices se tiendra au Parlement européen.
Elections européennes: POLLINIS vous propose aujourd’hui de nous aider à faire en sorte que le vote du 23 janvier soit une première victoire pour nos abeilles. Interpellez les députés de la Commission Agri sur Twitter.
En France, les données sur la distribution des abeilles sont fragmentaires et, en l’état actuel des connaissances, toute donnée d’observation se révèle utile pour mieux définir les aires de répartition et le statut de rareté des espèces.