Contribution au bilan que doit réaliser l’Anses, qui vise à comparer les bénéfices et les risques liés aux usages des pesticides néonicotinoïdes autorisés en France avec ceux liés aux usages de produits de substitution.
Alerte néonicotinoïdes : une interdiction en trompe-l'oeil, rencontre avec Philippe Ruchat, vice-président du Conservatoire de l'abeille noire d’Île-de-France, la phase 2 du projet Anti-Frelon Asiatique a pu être enclenchée.
POLLINIS organise son petit-déjeuner de rentrée le 28 septembre 2016. L’occasion pour les journalistes de venir rencontrer l’équipe dans ses bureaux et de prendre connaissance de ce que prépare l’association.
Pour faire face aux impacts négatifs des pesticides, les représentants politiques misent sur l’encadrement des usages. Cette notion vague a donné lieu à des mesures insuffisantes, inapplicables et difficilement contrôlables.
Les agro-chimistes disposent déjà de pesticides conçus pour remplacer les néonicotinoïdes, qui seront définitivement interdits en France en 2020. Leurs impacts sur les abeilles sont dramatiquement identiques.
Le 22 juin 2016, les députés ont voté l'interdiction des néonics dans le cadre du projet de loi « Biodiversité ». Elle doit prendre effet dans deux ans, en septembre 2018, avec des dérogations possibles jusqu'au 1er juillet 2020.
Le glyphosate est le désherbant chimique le plus utilisé dans le monde, et celui que l’on retrouve le plus fréquemment dans l’environnement. Il agit en bloquant un enzyme dont la plante a besoin pour fabriquer acides aminés et protéines.
L’autorisation de mise sur le marché (AMM) du glyphosate en Europe a été renouvelée pour 10 ans en novembre 2023. Retour sur les grandes étapes de l’histoire de l’herbicide le plus utilisé au monde, désigné comme cancérogène probable.
Comment Monsanto pourrait-il continuer à vendre son herbicide vedette, le Roundup, malgré l’opposition de nombreux pays européens ? C’est la question sensible à laquelle doit répondre la Commission européenne.
La Directive sur le Secret des affaires a été votée à l’unanimité par les États-membres le 27 mai 2016 au Conseil européen. Or ses conséquences pour le droit à l’information des citoyens consommateurs sont dramatiques.