Quatre prototypes du dispositif de POLLINIS contre le frelon asiatique, développés grâce aux dons des sympathisants de l'association, pourront être testés pendant un an dans le sud-est de la France.
Malgré les alertes et la mobilisation de la société civile, les députés ont adopté en première lecture la proposition de loi sur le secret des affaires. Pourtant, les dérogations prévues ne protégeront pas les droits des citoyens.
La pétition du collectif « Stop secret d'affaires », lancée le 19 mars 2018 et soutenue par une cinquantaine de personnalités, d'ONG, de syndicats et une vingtaine de sociétés de journalistes vient d'atteindre 200 000 signatures.
Les pollinisateurs connaissent un déclin dramatique en Europe, tant au niveau de la diversité des espèces que du nombre d’individus pour chaque espèce, et ce déclin est appelé à empirer dans les années qui viennent.
Avec un collectif de journalistes, de syndicats et d’associations, POLLINIS se mobilise dans une tribune contre une proposition de loi qui pourrait empêcher à l’avenir de révéler des affaires comme celles des « Panama Papers ».
Plus de 80 ONG, dont POLLINIS, ont écrit au Président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, afin de lui demander d’interdire les pesticides néonicotinoïdes au niveau européen sans délai. Il est urgent d’agir dès à présent.
Après 5 ans de travail ininterrompu, et une mobilisation exceptionnelle des 1,3 million de citoyens européens qui soutiennent ses actions, POLLINIS et les autres organisations de la Bee Coalition ont obtenu une victoire historique.
Avec une coalition de 40 scientifiques et organisations d'apiculteurs travaillant à la conservation des abeilles locales à travers l’Europe, POLLINIS obtient l’introduction de leur protection juridique, question cruciale pour l’avenir.
POLLINIS obtient la réintroduction d’un amendement pour la protection juridique des abeilles locales et lance une campagne de mobilisation pour que la Commission européenne se saisisse de cette question cruciale.
La Commission européenne procède actuellement à une évaluation des dispositions réglementaires dans le cadre de sa réforme des politiques d’autorisation de pesticides. A cette fin, elle demande aussi l’avis des citoyens.