Deux nouvelles études publiées simultanément dans la très respectée revue américaine Science mettent en évidence le rôle de deux insecticides néonicotinoïdes très couramment utilisés pour expliquer le déclin des abeilles.
La Coordination contre les méfaits de BAYER demande d’autres interdictions de néonicotinoïdes, et demande à ce que toutes les études produites par les firmes avant de commercialiser les pesticides soient rendues publiques.
Des chercheurs de l’INRA ont constaté que des abeilles nourries avec du pollen issu de plus de cinq espèces de plantes étaient plus résistantes aux maladies, pointant une nouvelle fois les effets délétères de l’agriculture intensive.
Des chercheurs de l’Inra viennent de montrer que c’est la combinaison d’un agent infectieux et d’un insecticide qui menace les ruches. Un cocktail mortel qui devrait obliger à revoir la procédure d’évaluation des pesticides.