La mobilisation massive des citoyens suite à l’appel lancé par POLLINIS à participer à la consultation publique de la Commission européenne sur les pesticides s’est vue freinée par une multiplication de « bugs ».
POLLINIS intervient devant la justice aux cotés de plus de 30 associations et SDJ pour protéger le droit fondamental des citoyens à l’information, menacé depuis la transposition en droit français de la directive européenne sur le secret des affaires.
Impact des pesticides sur les pollinisateurs : POLLINIS dénonce la mainmise du lobby de l’agrochimie sur les procédures d’homologation et lance une campagne européenne pour l’adoption immédiate des « tests abeilles ».
Opacité des procédures d’évaluation du risque des pesticides sur les pollinisateurs : Accès aux documents demandés par POLLINIS essentiel pour garantir l’exercice du droit de participation au processus démocratique.
Le gouvernement vient d'annoncer la mise en place d'un groupe de travail pour actualiser les méthodologies d’évaluation des risques des pesticides et renforcer les mesures de protection des abeilles et autres pollinisateurs.
POLLINIS lance une pétition, « Pollinisateurs : le massacre autorisé », pour demander au gouvernement français de réformer de toute urgence son système d’évaluation pour connaître l’impact réel des pesticides sur les pollinisateurs.
POLLINIS a obtenu le label « Don en Confiance ». Cette labellisation signifie que l’association satisfait aux grands principes suivants : respect du donateur, transparence, probité et désintéressement, recherche d’efficacité.
Devant l’urgence environnementale, la lenteur de réaction des autorités sanitaires, et l'obsolescence manifeste des tests d’homologation des fongicides SDHI, POLLINIS lance une pétition auprès du Président de la République.
POLLINIS, avec la coalition « Citoyens européens pour la science dans la réglementation des pesticides », demande une réforme du système d'évaluation des pesticides aux côtés d’organisations, d’experts scientifiques et de citoyens.
Devant l’urgence environnementale, la lenteur de réaction des autorités sanitaires, et l'obsolescence des tests d’homologation, POLLINIS demande le retrait immédiat de ces substances en attendant que leur toxicité soit réévaluée.