À la suite d’alertes et d’études sur l’état de santé d’agriculteurs malades des pesticides, le groupe socialiste du Sénat a usé de son droit de tirage pour demander la création d’une mission commune d’information sur les impacts des pesticides.
La semence est à la source de notre nourriture. Depuis que l’homme a commencé à se sédentariser, il a toujours réutilisé les semences qu’il produisait d’une année sur l’autre. Mais aujourd’hui, la semence libre n’existe plus.
Les biocarburants sont une formidable trouvaille mais pour qui ? Dans le monde entier, usines et raffineries poussent comme des champignons. Le blé, le colza, le tournesol chez nous, le palmier à huile, la canne à sucre, le soja...
Dans une société où le risque technologique est devenu un sujet de préoccupation du citoyen, ce livre questionne les liaisons dangereuses qui unissent experts, décideurs et industriels dans des politiques d’orientation technologique.
Cet ouvrage donne la parole à un petit agriculteur breton. Ardent promoteur et défenseur de l’agriculture durable, l’auteur s’est engagé dès les années 60 dans la lutte des jeunes organisations paysannes sur la voie du progrès.
« Ruches et Abeilles : Architecture, Traditions, Patrimoine » traite essentiellement de l’habitat des abeilles, avec d’étonnantes découvertes d’architectures spécifiques aux ruches et aux ruchers, un peu partout en France et en Europe.
À quoi pourrait ressembler un matin dans un monde sans abeilles? Ce n’est pas seulement le miel qui disparaîtrait de table. Plus de marmelade, de confiture de groseille ou d’abricot. Plus de jus d’orange ou de pomme, de café...
Comme son nom l’indique, Au trou de vol a pour objet de faire comprendre à chaque gardien d’abeilles qu’il est possible de savoir précisément ce qui se passe à l’intérieur de la ruche sans avoir besoin d’ouvrir à tout va.
Plancton marin et pesticides peuvent se rencontrer en eaux côtières. Les produits de traitement et leurs résidus, entraînés par les eaux de ruissellement, parviennent en effet jusqu’aux eaux estuariennes puis littorales.
Cet ouvrage met en évidence les limites de l’approche des services écosystémiques pour mesurer et évaluer monétairement les écosystèmes et l’usage que l’espèce humaine en tire.