Le biologiste américain Thomas Seeley a passé sa vie à étudier les abeilles à miel vivant à l’état sauvage. Portrait d’un observateur éminemment patient et modeste qui appelle à un nouveau lien entre les abeilles et les hommes.
En Europe, la mortalité naturelle des abeilles va être évaluée en milieu agricole, pollué par les pesticides. Un choix qui risque de faire baisser dramatiquement les niveaux de protection des abeilles.
Alors que la loi dérogeant à l’interdiction des néonicotinoïdes vient d’être adoptée en France, la Commission européenne a chargé l’EFSA de vérifier le bien-fondé des trop nombreuses autorisations d’urgence octroyées par les pays européens.
Dans un courrier adressé à la Commission, 76 ONG demandent l'interdiction la vente de pesticides interdits en Europe aux pays tiers, mais aussi l’importation de produits agricoles contenant des résidus de ces substances nocives.
POLLINIS détaille les votes de l’ensemble des sénateurs sur la dérogation pour l'utilisation des néonicotinoïdes à l'issue de l'adoption du projet de loi le 27 octobre par la chambre haute.
Ancienne pédiatre et résistante pendant la seconde guerre mondiale, Colette Brull-Ulmann, 100 ans, demande aux élus de s'opposer au retour des néonicotinoïdes.
Le gouvernement français s'est appuyé sur des chiffres erronés pour justifier la ré-autorisation des néonicotinoïdes. La diminution réelle des rendements de betteraves sucrières s'élève à 15 %, très loin des 30 à 50 % relayés jusqu’ici.
Depuis plus de 20 ans, Philippe Boyer photographie dans le bois de Vincennes les abeilles sauvages, donnant à voir l'intimité fascinante de ces insectes méconnus ainsi que leur incroyable diversité.
Ancien producteur en conventionnel, Sébastien Lemoine s’est converti en bio. Convaincu que le secteur de la betterave intensive est dans l’impasse, il travaille au développement d'une filière bio équitable.
POLLINIS révèle le détail des votes de l’ensemble des députés sur la ré-autorisation des néonicotinoïdes, ainsi que les positions des élus qui ont répondu aux sollicitations de près de 70 00 citoyens qui les avaient interpellés.