L’importance de protéger les abeilles locales partout en Europe est en train d’être reconnue par tous les acteurs citoyens ou scientifiques. De multiples facteurs déciment les colonies d’abeilles à travers le monde aujourd’hui.
POLLINIS publie la liste des signataires de la déclaration de principe sur la nécessité de règles communautaires protectrices des sous-espèces et écotypes d'abeilles mellifères indigènes du territoire de l'Union européenne.
Le projet de rapport sur l’avenir du secteur apicole a été adopté aujourd’hui en Commission AGRI à la quasi-unanimité. Le vote en session plénière du Parlement européen aura lieu dans deux mois.
Chercheur au CNRS et généticien de l’abeille, spécialiste de l’abeille noire et président de la FEdCAN (Fédération européenne des Conservatoires de l’abeille noire), Lionel Garnery nous parle de l'abeille locale.
List of signatories of the Statement of principle on the need for rules to protect the subspecies and ecotypes of honey bees indigenous to the territory of the European Union to protect dependent heritage, ecological and cultural interests.
Soutenu par les citoyens, le projet anti-frelon asiatique de POLLINIS, lancé en 2016, poursuit sa progression avec un prototype plus léger et sans compresseur, qui sera testé sur le terrain dès le printemps 2018.
Le sort des « tueurs d’abeilles » toujours en suspens à Bruxelles, nos actions pour obtenir un bouclier juridique pour nos abeilles, le développement d'un nouveau prototype pour détruire les nids de frelons asiatiques.
C’est une première : grâce à la campagne que mène POLLINIS,le sort des abeilles locales est enfin évoqué à Bruxelles ! Le 23 janvier 2018, un vote crucial pour l’avenir de nos pollinisatrices se tiendra au Parlement européen.
Elections européennes: POLLINIS vous propose aujourd’hui de nous aider à faire en sorte que le vote du 23 janvier soit une première victoire pour nos abeilles. Interpellez les députés de la Commission Agri sur Twitter.
En France, les données sur la distribution des abeilles sont fragmentaires et, en l’état actuel des connaissances, toute donnée d’observation se révèle utile pour mieux définir les aires de répartition et le statut de rareté des espèces.