Dans une tribune du journal Le Monde, Nicolas Laarman, délégué général de POLLINIS, dénonce le fait que le texte législatif qui devait mieux protéger des pesticides les insectes pollinisateurs ait été vidé de sa substance.
POLLINIS publie une note de synthèse sur le lobbying des firmes de l'agrochimie qui pourrait amener l'Europe à se priver du seul outil scientifique ambitieux et pragmatique qui permettrait d'enrayer le déclin des pollinisateurs.
Impact des pesticides sur les pollinisateurs : POLLINIS dénonce le recul de la Commission européenne et la mainmise des lobbys sur les procédures d'homologation des pesticides.
La mobilisation massive des citoyens suite à l’appel lancé par POLLINIS à participer à la consultation publique de la Commission européenne sur les pesticides s’est vue freinée par une multiplication de « bugs ».
La consultation publique sur l’évaluation et l’autorisation des pesticides lancée par la Commission est une occasion pour les citoyens de demander l’application immédiate et totale des tests abeilles conçus par ses propres experts.
Gérard Arnold, directeur de recherche émérite au CNRS, expert de l'abeille domestique auprès d'agences sanitaires : à l'heure actuelle, ce sont les firmes elles-mêmes qui réalisent les études de toxicité de leur molécules.
POLLINIS intervient devant la justice aux cotés de plus de 30 associations et SDJ pour protéger le droit fondamental des citoyens à l’information, menacé depuis la transposition en droit français de la directive européenne sur le secret des affaires.
Une nouvelle session de formation s'est tenue pour les professeurs de lycées agricoles dans le cadre du réseau Apiformes, un programme scientifique soutenu financièrement par les donateurs de POLLINIS.
Alors que les résultats des études scientifiques indépendantes commandées par l'association sont attendus pour le mois de juin, POLLINIS et les chercheurs dénoncent des procédures d'évaluation inadaptées.
Après six années de blocage et sous la pression massive de l'agro-industrie, la Commission s'apprête à enterrer les « tests abeilles » qui permettraient de tester la toxicité réelle des pesticides sur les pollinisateurs.