Dans une tribune dans Le Monde, Nicolas Laarman, délégué général de l’association POLLINIS, dénonce l’ajournement de nouveaux tests sur les effets des pesticides. Selon lui, ce recul reflète l’inaction des pouvoirs publics face aux lobbies.
Présentation de notre bilan 2018 et nos projets pour la nouvelle année. Avec votre aide, nous ferons encore plus et mieux en 2019 en poursuivant notre lutte pour sauver les abeilles et les pollinisateurs sauvages.
POLLINIS lance une pétition, « Pollinisateurs : le massacre autorisé », pour demander au gouvernement français de réformer de toute urgence son système d’évaluation pour connaître l’impact réel des pesticides sur les pollinisateurs.
POLLINIS a obtenu le label « Don en Confiance ». Cette labellisation signifie que l’association satisfait aux grands principes suivants : respect du donateur, transparence, probité et désintéressement, recherche d’efficacité.
La France doit réformer son système d’évaluation de toute urgence. Les insectes disparaissent à un rythme alarmant. L'une des principales causes de ce déclin est l’utilisation intensive de pesticides dont l’impact réel est mal évalué.
POLLINIS saisit le médiateur européen contre l’opacité des procédures d’évaluation du risque des pesticides sur les pollinisateurs, après le refus de la Commission européenne de lui transmettre des informations capitales.
Devant l’urgence environnementale, la lenteur de réaction des autorités sanitaires, et l'obsolescence manifeste des tests d’homologation des fongicides SDHI, POLLINIS lance une pétition auprès du Président de la République.
Les SDHI sont utilisés massivement dans les champs depuis 2014, mais les risques posés par ces fongicides n'ont pas été correctement évalués. Face à l'inertie des autorités sanitaires, POLLINIS a décidé d'agir.