Mardi 26 janvier, les sénateurs ont adopté le projet de loi « Biodiversité » sans interdire les pesticides néonicotinoïdes. POLLINIS déplore le vote des sénateurs sur ces pesticides particulièrement toxiques.
L’examen du projet de loi « Biodiversité » débute ce jour au Sénat. Il se prolongera jusqu'au 26 janvier, avec le vote du texte. Sept amendements en faveur de l'interdiction des néonics ont été déposés, dont deux viennent de POLLINIS.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) souhaite restreindre les conditions d’utilisation des néonicotinoïdes et recommande de ne pas semer de culture attractive pour les pollinisateurs à la suite d’un traitement néonics.
POLLINIS lance une campagne pour faire pression sur les sénateurs français afin qu’ils adoptent, dans le cadre du projet de loi « pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages », l’amendement « Stop Neonics ».
POLLINIS lance une campagne de financement pour son projet Anti Frelon Asiatique, fruit d’une collaboration de deux ans entre l'association environnementale et une équipe de trois ingénieurs polytechniciens.
Une douzaine de Conservatoires de l’abeille noire et POLLINIS s’associent pour défendre l’abeille locale, en créant la Fédération européenne des Conservatoires de l’abeille noire (FEdCAN).
Mercredi 16 décembre 2015, une dizaine de Conservatoires d’abeille noire se sont réunis avec l’association POLLINIS afin de poser les fondations de la Fédération européenne des Conservatoires d’abeille noire (FEDCAN).
POLLINIS a effectué une visite de terrain sur l’île de Groix. Deux méthodes de détection des nids de frelons asiatiques ont été testées “grandeur nature” de jour comme de nuit par Hacène Hebbar, coordinateur des projets.
In addition to the many factors that are decimating bee colonies throughout the world, the dark bees, Western and Northern Europe's local bees, are confronted with demands of short-term profitability .
Outre les multiples facteurs qui déciment les colonies d'abeilles à travers le monde, l'abeille noire, est confrontée à une course à la rentabilité à court terme qui privilégie l'importation d'abeilles souvent inadaptées à nos territoires.