POLLINIS a présenté un prototype de quatrième génération, fondé sur la vaporisation d'air chaud humide. Des tests vont être lancés pour éprouver sur le terrain ce dispositif sans dommages écologiques.
Alors que les résultats des études scientifiques indépendantes commandées par l'association sont attendus pour le mois de juin, POLLINIS et les chercheurs dénoncent des procédures d'évaluation inadaptées.
Après six années de blocage et sous la pression massive de l'agro-industrie, la Commission s'apprête à enterrer les « tests abeilles » qui permettraient de tester la toxicité réelle des pesticides sur les pollinisateurs.
Des millénaires d'équilibre naturel balayés en quelques années : c'est la tragédie à laquelle nous sommes condamnés si rien n'est fait pour assurer très rapidement la protection des abeilles locales en Europe.
Depuis le 21 mai dernier, l’association Asan. Gx, qui milite pour la protection et la sauvegarde de l’abeille noire de l’île de Groix, accueille une partie de l'équipe POLLINIS ainsi que l’entomologiste américain, Jeffery Pettis.
Mainmise du lobby de l'agrochimie : Alors qu'une réunion décisive aura lieu les 20 et 21 mai, POLLINIS dénonce un véritable scandale européen, qui se déroule à Bruxelles : l'enterrement prévu des « tests abeilles ».
Une nouvelle étude confirme que le flupyradifurone, un néonicotinoïde caché autorisé en catimini pour remplacer les néonicotinoïdes « officiels » est un tueur d’abeilles de première catégorie.
Dans le cadre du groupe de travail sur la protection des abeilles et autres pollinisateurs mis en place par les ministres de la Transition écologique et solidaire et de l’Agriculture, POLLINIS soumet ses propositions.
POLLINIS relance aujourd'hui sa grande campagne de mobilisation pour demander une protection juridique des conservatoires de l’abeille noire et éviter que ne disparaisse ce précieux patrimoine génétique.
L'EFSA confirme que le sulfoxaflor, un néonicotinoïde nouvelle génération est un tueur d'abeilles avéré et devrait être immédiatement retiré du marché. Pourtant, rien n'oblige la Commission européenne à le faire.