Ce partenariat entre la gendarmerie et les syndicats agricoles majoritaires assimile la critique de l'agriculture conventionnelle à un dénigrement de tous les agriculteurs. Un danger pour la démocratie et pour l'environnement.
Inquiètes du lobbying des biotechnologies, 162 organisations dont POLLINIS demandent à la Commission européenne le maintien de l’encadrement strict des nouvelles générations d'organismes génétiquement modifiés.
Dans une lettre adressée à la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, POLLINIS alerte sur le risque d’abaissement des niveaux de protection pour les pollinisateurs lors de l’homologation des pesticides.
Bataille contre le retour des tueurs d’abeilles en France, bras de fer européen contre l’agrochimie pour écarter les pesticides les plus dangereux… Retrouvez les dernières actions de POLLINIS dans votre bulletin de liaison.
Alors que le nouveau « Plan pollinisateurs » du gouvernement doit être finalisé, POLLINIS propose des pistes pour protéger davantage les pollinisateurs des pesticides et encadrer plus strictement les éventuelles dérogations.
Spécialiste des controverses liées aux enjeux de santé environnementale, le sociologue Jean-Noël Jouzel revient sur l’histoire et les failles de la science règlementaire, qui encadre la mise sur le marché des pesticides.
Générations Futures, POLLINIS, Terre d'abeilles, SNA, justice pesticides, FNE et AMLP déposent des recours contre l’arrêté du 5 février 2021 réautorisant les insecticides tueurs d’abeilles et demandent l’annulation de ce texte.
Une étude met en évidence la toxicité renforcée du mélange entre le sulfoxaflor et un fongicide SDHI, ainsi que la vulnérabilité des abeilles sauvages – deux angles morts du processus d’homologation des pesticides.
Pour contourner les interdictions frappant les néonicotinoïdes, l’industrie agrochimique est parvenue à faire homologuer des insecticides au mode d'action équivalent, en inventant de nouvelles catégories.
Aux côtés de sept organisations, POLLINIS demande au gouvernement français de s’opposer à la ré-autorisation de trois substances actives toxiques pour les abeilles : le sulfoxaflor la cyperméthrine et la benfluralin.