Le 15 octobre 2025, à Abou Dabi, les membres du Congrès de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) ont rejeté le moratoire porté par POLLINIS et ont adopté la politique sur la biologie de synthèse.
Face à la tentation de réécrire le code génétique des espèces sauvages - pour les rendre résistantes à certaines maladies, ou encore éradiquer des populations jugées indésirables - POLLINIS demande la suspension de l’usage de ces techniques, tant que leurs effets n’auront pas été correctement évalués.
Alors que l’UICN décidera s'il convient de promouvoir le génie génétique comme outil de conservation de la nature, plus de 90 organisations, dont POLLINIS, réclament un moratoire sur la modification génétique de la nature.
L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) organise son congrès mondial du 9 au 15 octobre. Un évènement crucial, où se négociera notamment la place de la biologie de synthèse dans les stratégies de protection de la biodiversité.
Le congrès régional de l’UICN s’est tenu à Bruges du 30 septembre au 3 octobre 2024. L’Union internationale pour la conservation de la nature semble continuer à ouvrir la voie à l’usage de la biologie de synthèse.
À la COP15 biodiversité, 100 scientifiques, experts et organisations appellent les dirigeants internationaux à protéger les pollinisateurs des dangers de biotechnologies génétiques.
Plus de 100 scientifiques, experts et organisations demandent aux décideurs internationaux de s'opposer à la dissémination d'organismes issus des biotechnologies génétiques, et l'application du principe de précaution.
À l’occasion de la COP15, POLLINIS lance une campagne pour alerter sur les risques des nouvelles biotechnologies génétiques pour les pollinisateurs et l’ensemble de la biodiversité.
Alors que les appétits s'aiguisent autour de la biologie de synthèse, un groupe d’opposants, dont POLLINIS, est parvenu à imposer le principe de précaution dans une motion sur son utilisation dans la conservation du vivant, au congrès mondial de l'UICN.
Le Congrès mondial de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a voté la 10 septembre une motion questionnant l'utilisation des modifications génétiques pour la conservation de la nature.