POLLINIS et trois autres ONG s'engagent dans une nouvelle étape de la bataille judiciaire contre la réautorisation temporaire des néonicotinoïdes, en déposant un nouveau recours en annulation devant le Conseil d'Etat.
Dans une lettre adressée à la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, POLLINIS alerte sur le risque d’abaissement des niveaux de protection pour les pollinisateurs lors de l’homologation des pesticides.
POLLINIS a soutenu financièrement la Task Force on Systemic pesticides, un groupe international de chercheurs indépendants. Ces scientifiques ont démontré dans une méta-analyse publiée en 2015 les effets toxiques des pesticides systémiques sur la biodiversité.
Alors que le nouveau « Plan pollinisateurs » du gouvernement doit être finalisé, POLLINIS propose des pistes pour protéger davantage les pollinisateurs des pesticides et encadrer plus strictement les éventuelles dérogations.
Cette étude met en évidence la toxicité renforcée du mélange entre le sulfoxaflor et un fongicide SDHI, ainsi que la vulnérabilité des abeilles sauvages qui y sont exposées.
Spécialiste des controverses liées aux enjeux de santé environnementale, le sociologue Jean-Noël Jouzel revient sur l’histoire et les failles de la science règlementaire, qui encadre la mise sur le marché des pesticides.
Générations Futures, POLLINIS, Terre d'abeilles, SNA, justice pesticides, FNE et AMLP déposent des recours contre l’arrêté du 5 février 2021 réautorisant les insecticides tueurs d’abeilles et demandent l’annulation de ce texte.
Une étude met en évidence la toxicité renforcée du mélange entre le sulfoxaflor et un fongicide SDHI, ainsi que la vulnérabilité des abeilles sauvages – deux angles morts du processus d’homologation des pesticides.
Pour contourner les interdictions frappant les néonicotinoïdes, l’industrie agrochimique est parvenue à faire homologuer des insecticides au mode d'action équivalent, en inventant de nouvelles catégories.
Aux côtés de sept organisations, POLLINIS demande au gouvernement français de s’opposer à la ré-autorisation de trois substances actives toxiques pour les abeilles : le sulfoxaflor la cyperméthrine et la benfluralin.