Un article co-écrit par Alexandre Barraud, membre de l’équipe scientifique de POLLINIS, pointe les dangers d’une exposition conjointe aux pesticides et au stress nutritionnel. Des conditions que subissent fréquemment les pollinisateurs dans les agroécosystèmes.
POLLINIS s’est rendue au Parc national de forêts pour rencontrer George Allen. Dans le cadre de sa thèse financée par POLLINIS, le chercheur étudie les insectes butineurs du parc et présente ses premiers résultats .
Fabrice Requier, spécialiste de l’écologie des pollinisateurs, étudie depuis 2020 les colonies d’abeilles mellifères sauvages au sein de trois zones naturelles. Ces recherches inédites en France ouvrent de premières perspectives concernant l’état de ces populations méconnues.
En juin 2024, les équipes de POLLINIS se sont rendues au Parc national de forêts pour y rencontrer George Allen. Ce doctorant a été mandaté par l'ONG pour étudier les butineurs de la zone et adresser une liste de recommandations pour favoriser la diversité de ces insectes floricoles.
Dans le cadre des élections législatives 2024, POLLINIS livre son analyse des positions des trois principaux blocs politiques de ces élections législatives : le Nouveau Front Populaire, Ensemble pour la République et le Rassemblement national.
L’illustre apidologue Thomas Seeley a consacré une bonne partie de sa vie à l’étude des abeilles à miel. Dans un entretien accordé à POLLINIS, il explique le mécanisme de résistance des abeilles mellifères de l’île de Groix au Varroa destructor.
Emmanuelle Porcher travaille au MNHN. Invitée de la chaire annuelle « Biodiversité et écosystèmes » du Collège de France, elle est revenue pour POLLINIS sur ses travaux autour des interactions entre plantes et pollinisateurs.
Dr Fabrice Requier, spécialiste de l'écologie et des pollinisateurs, explique le projet de recensement des abeilles mellifères sauvages du Parc national de Forêts, soutenu par POLLINIS
Le biologiste Fabrice Requier étudie depuis 2020 les colonies d’abeilles mellifères sauvages dans le Parc de forêts. Co-financés par POLLINIS, ces travaux visent à combler le manque de données sur Apis mellifera à l'état sauvage.