La Médiatrice européenne réitère son soutien à la demande de POLLINIS et épingle la « mauvaise administration » de la Commission pour son refus de dévoiler les raisons du blocage des « tests abeilles ».
La Médiatrice européenne met fin à une année de procédure et donne définitivement raison à POLLINIS face à la Commission européenne, qui refuse depuis un an de lui transmettre des documents sur les tests abeilles.
La Commission refuse de communiquer à POLLINIS des documents qui permettraient de déterminer quels pays bloquent depuis six ans l’adoption de nouvelles méthodes d’évaluation des pesticides.
POLLINIS s’associe à plusieurs organisations – dont la Ligue des droits de l’homme, Greenpeace France, Sciences citoyennes, Mediapart – pour demander au président de la République de mieux protéger les lanceurs d’alerte.
À ce jour, la Commission européenne n’a toujours pas communiqué les documents qu’elle devait transmettre à POLLINIS avant le 31 octobre concernant le blocage des « tests abeilles » à Bruxelles.
POLLINIS intervient devant la justice aux cotés de plus de 30 associations et SDJ pour protéger le droit fondamental des citoyens à l’information, menacé depuis la transposition en droit français de la directive européenne sur le secret des affaires.
Opacité des procédures d’évaluation du risque des pesticides sur les pollinisateurs : Accès aux documents demandés par POLLINIS essentiel pour garantir l’exercice du droit de participation au processus démocratique.
POLLINIS saisit le médiateur européen contre l’opacité des procédures d’évaluation du risque des pesticides sur les pollinisateurs, après le refus de la Commission européenne de lui transmettre des informations capitales.
POLLINIS saisit le médiateur européen contre l’opacité des procédures d’évaluation du risque des pesticides sur les pollinisateurs, après le refus de la Commission européenne de lui transmettre des informations capitales.
POLLINIS saisit le médiateur européen après le refus de la Commission de lui transmettre des informations relatives à l’adoption des méthodes d’évaluation des risques des pesticides et conteste le manque de transparence.