Les pollinisateurs connaissent un déclin dramatique en Europe, tant au niveau de la diversité des espèces que du nombre d’individus pour chaque espèce, et ce déclin est appelé à empirer dans les années qui viennent.
Avec un collectif de journalistes, de syndicats et d’associations, POLLINIS se mobilise dans une tribune contre une proposition de loi qui pourrait empêcher à l’avenir de révéler des affaires comme celles des « Panama Papers ».
La Commission européenne procède actuellement à une évaluation des dispositions réglementaires dans le cadre de sa réforme des politiques d’autorisation de pesticides. A cette fin, elle demande aussi l’avis des citoyens.
POLLINIS en appelle aux organismes décisionnaires de l’Union pour qu'ils édictent des règles garantissant la sauvegarde des sous-espèces et écotypes d’abeilles mellifères indigènes en Europe.
Statement of principle on the need for EU rules to protect the subspecies and ecotypes of honey bees indigenous to the territory of the European Union in order to protect dependent heritage, ecological and cultural interests.
Contribution au bilan que doit réaliser l’Anses, qui vise à comparer les bénéfices et les risques liés aux usages des pesticides néonicotinoïdes autorisés en France avec ceux liés aux usages de produits de substitution.
Le délégué général de POLLINS, Nicolas Laarman, signe une tribune dans Le Monde du 29 janvier 2016 : « Pour la défense de la biodiversité, interdisons les insecticides néonicotinoïdes ». Le combat est loin d’être gagné.
Une conférence au Parlement européen débattra d’un sujet vital pour chacun d’entre nous : l’avenir de la production alimentaire en Europe. La Commission décidera cette année de la suite à donner à l’interdiction des néonicotinoïdes.
Les abeilles ont acquis une importance telle dans la biodiversité que leur rapide déclin pourrait engendrer un véritable cataclysme silencieux : la remise en question de toute la chaîne alimentaire, avec des conséquences dramatiques.