L'occasion de dresser le bilan de nos actions et projets en 2020 et de présenter les objectifs que nous nous fixons pour cette nouvelle année, que nous espérons pleine de victoires pour les pollinisateurs !
De nombreux pesticides illégaux en Europe continuent d’être produits et exportés vers des pays tiers. Interpellée dans un courrier par 76 organisations, dont POLLINIS, la Commission européenne affirme envisager une révision de la loi.
Dans une tribune publiée dans le quotidien « Libération », POLLINIS réclame aux côtés de plusieurs syndicats et associations l'élaboration d'une loi protégeant efficacement les lanceurs d'alerte.
Depuis 5 ans, POLLINIS met au point un appareil qui permet de lutter contre le frelon asiatique sans recours aux insecticides. Retour en images sur le développement de l'appareil « HeatNest » .
Alors que POLLINIS s’inquiète du danger de disséminer dans la nature des insectes issus du forçage génétique, un avis scientifique de l’Agence européenne de sécurité des aliments conseille indirectement de mener certains essais de terrain.
En Europe, la mortalité naturelle des abeilles va être évaluée en milieu agricole, pollué par les pesticides. Un choix qui risque de faire baisser dramatiquement les niveaux de protection des abeilles.
Alors que la loi dérogeant à l’interdiction des néonicotinoïdes vient d’être adoptée en France, la Commission européenne a chargé l’EFSA de vérifier le bien-fondé des trop nombreuses autorisations d’urgence octroyées par les pays européens.
Dans un courrier adressé à la Commission, 76 ONG demandent l'interdiction la vente de pesticides interdits en Europe aux pays tiers, mais aussi l’importation de produits agricoles contenant des résidus de ces substances nocives.
POLLINIS détaille les votes de l’ensemble des sénateurs sur la dérogation pour l'utilisation des néonicotinoïdes à l'issue de l'adoption du projet de loi le 27 octobre par la chambre haute.
Le gouvernement français s'est appuyé sur des chiffres erronés pour justifier la ré-autorisation des néonicotinoïdes. La diminution réelle des rendements de betteraves sucrières s'élève à 15 %, très loin des 30 à 50 % relayés jusqu’ici.