Avec trois autres ONG, POLLINIS adresse une lettre ouverte à la Commission européenne pour souligner ses doutes quant aux choix techniques et scientifiques actuels de l’EFSA dans le cadre de la révision des « tests abeilles ».
Dans une tribune publiée dans le quotidien « Libération », POLLINIS réclame aux côtés de plusieurs syndicats et associations l'élaboration d'une loi protégeant efficacement les lanceurs d'alerte.
Le processus d’homologation des pesticides de l’Union européenne n’est pas en mesure de renverser la courbe de l'extinction des insectes ailés, alerte dans une tribune au « Monde » Nicolas Laarman.
POLLINIS demande à deux ministres (Agriculture et Transition écologique) de défendre des niveaux de protection efficaces pour les lignes directrices qui serviront à évaluer l’impact réel des pesticides sur les pollinisateurs.
Dans un courrier adressé à la Commission, 76 ONG demandent l'interdiction la vente de pesticides interdits en Europe aux pays tiers, mais aussi l’importation de produits agricoles contenant des résidus de ces substances nocives.
20 organisations adressent aux députés un document qui répond aux contrevérités de la communication gouvernementale sur le projet de loi visant à réintroduire les néonicotinoïdes.
Le 21 septembre 2020, POLLINIS adresse avec 15 organisations une lettre ouverte demandant l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique.
Une coalition d'organisations, dont POLLINIS, appelle les parlementaires à rejeter le projet de loi du gouvernement instaurant des dérogations pour l'usage des néonicotinoïdes, des pesticides interdits en France depuis 2018.
Le délégué général de POLLINIS signe exhorte les parlementaires de ne pas autoriser les « dérogations d'urgence » à l'interdiction des néonicotinoïdes.
17 organisations dont POLLINIS interpellent le ministre de l’Agriculture pour lui demander de renoncer aux dérogations sur les néonicotinoïdes, réclamées par les producteurs de betterave. L’ANSES a admis en 2018 qu’il y existait des alternatives.