La Pologne a publié ce 19 février sa troisième proposition relative aux nouveaux OGM. L'adoption de ce texte par le Conseil de l'UE s'avère probable, et accélèrerait grandement le pas des négociations.
Ce jeudi 13 février, POLLINIS était à la Cour de justice de l’Union européenne dans le cadre d’un recours l’opposant à la Commission et au Parlement européens, BASF et CropLife Europe. Le verdict est attendu dans les prochains mois.
Plus de 200 organisations (agriculteurs, sélectionneurs, société civile) issues de 20 pays de l'Union européenne ont publié une déclaration commune alertant sur le projet de dérégulation des nouveaux OGM sur le continent.
Alors que les preuves de la toxicité des SDHI s'accumulent, ces pesticides restent massivement utilisés en France. En cause, des failles dans l'évaluation règlementaire que Laurence Huc, toxicologue à l'INRAE, détaille pour POLLINIS.
Le 15 janvier 2025, POLLINIS et 13 organisations ont demandé au Premier Ministre de s'opposer à la dérégulation des nouveaux OGM, alors que les négociations à ce sujet continuent aujourd'hui au Conseil de l'Union européenne.
La CJUE a rendu ce jeudi 16 janvier 2025 un arrêt historique obligeant la Commission européenne à donner accès à des documents sur les délibérations des Etats membres au sujet de la régulation des pesticides en Europe.
La toxicité mitochondriale des SDHI n'est toujours pas prise en compte lors des tests règlementaires. Deux experts témoignent ici de l'impasse dans laquelle se trouve l'évaluation des risques des pesticides en France.
Surveillance et fichage des opposants à l'agrochimie ; projet citoyen pour évaluer la présence de pesticides dans les réserves naturelles françaises ; nouvelle alerte sur les risques liés aux nouveaux OGM... Retrouvez les derniers combats de l’association dans votre bulletin de liaison !
En 2024, POLLINIS a lancé une étude inédite pour documenter la présence de pesticides dans les aires naturelles protégées de France. Parmi celles-ci, la Réserve Naturelle Confluence Garonne-Ariège.
Les négociations autour des « tests abeilles » ont repris à huis clos au sein du SCoPAFF, alors que la justice européenne pourrait bientôt confirmer une décision obligeant à rendre ce comité technique transparent.