Gérard Arnold, directeur de recherche émérite au CNRS, expert de l'abeille domestique auprès d'agences sanitaires : à l'heure actuelle, ce sont les firmes elles-mêmes qui réalisent les études de toxicité de leur molécules.
POLLINIS intervient devant la justice aux cotés de plus de 30 associations et SDJ pour protéger le droit fondamental des citoyens à l’information, menacé depuis la transposition en droit français de la directive européenne sur le secret des affaires.
POLLINIS a présenté un prototype de quatrième génération, fondé sur la vaporisation d'air chaud humide. Des tests vont être lancés pour éprouver sur le terrain ce dispositif sans dommages écologiques.
Alors que les résultats des études scientifiques indépendantes commandées par l'association sont attendus pour le mois de juin, POLLINIS et les chercheurs dénoncent des procédures d'évaluation inadaptées.
Après six années de blocage et sous la pression massive de l'agro-industrie, la Commission s'apprête à enterrer les « tests abeilles » qui permettraient de tester la toxicité réelle des pesticides sur les pollinisateurs.
Des millénaires d'équilibre naturel balayés en quelques années : c'est la tragédie à laquelle nous sommes condamnés si rien n'est fait pour assurer très rapidement la protection des abeilles locales en Europe.
Notre bras de fer contre les lobbys de l’agrochimie pour instaurer les « tests abeilles », notre victoire face à la Commission européenne nos actions pour préserver les abeilles locales, les avancées de notre projet anti-frelon.
POLLINIS adresse une pétition au Parlement européen avec des chercheurs de l’Inserm pour demander d’urgence une réévaluation des substances SDHI. Des études scientifiques montrent que les tests règlementaires sont insuffisants.
Depuis le 21 mai dernier, l’association Asan. Gx, qui milite pour la protection et la sauvegarde de l’abeille noire de l’île de Groix, accueille une partie de l'équipe POLLINIS ainsi que l’entomologiste américain, Jeffery Pettis.