Un rapport publié par POLLINIS met en lumière le risque que les pesticides ARNi, présentés comme des alternatives durables par leurs fabricants, posent pour les pollinisateurs et l’ensemble de la biodiversité.
Le 16 mai dernier, 340 organisations dont POLLINIS ont appelé le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, à maintenir les obligations d'étiquetage et de traçabilité pour toutes les générations d'OGM.
Plusieurs ministres de l’Environnement ont appelé la Commission européenne à remettre l’évaluation des risques au cœur du processus législatif qu'elle a lancé sur les nouvelles techniques génomiques.
POLLINIS a remis la pétition contre la dérégulation des nouveaux OGM, signée par plus de 420 000 citoyens, au cabinet d'Elisabeth Borne le 3 février et à des représentants de la Commission européenne le 7 février.
Alors que la Commission européenne a entamé un projet de réforme du statut des nouvelles techniques génomiques (NGT), POLLINIS demande à Christophe Béchu d'y prendre part aux côtés de ses homologues européens.
POLLINIS s’est rendue à la COP15 à Montréal afin d’alerter les décideurs internationaux sur les risques des biotechnologies génétiques pour les pollinisateurs.
Le nouveau cadre mondial pour la biodiversité, adopté à l’issue de la COP15 n'est pas assez ambitieux pour enrayer le déclin des insectes pollinisateurs. POLLINIS dénonce les lacunes alarmantes de cet accord.
À la COP15 biodiversité, 100 scientifiques, experts et organisations appellent les dirigeants internationaux à protéger les pollinisateurs des dangers de biotechnologies génétiques.
Plus de 100 scientifiques, experts et organisations demandent aux décideurs internationaux de s'opposer à la dissémination d'organismes issus des biotechnologies génétiques, et l'application du principe de précaution.