Inquiètes du lobbying des biotechnologies, 162 organisations dont POLLINIS demandent à la Commission européenne le maintien de l’encadrement strict des nouvelles générations d'organismes génétiquement modifiés.
POLLINIS contribue à l'organisation en France de « Quelle voie suivre ? », une consultation citoyenne sur les bouleversements engendrés par les nouvelles technologies dans l’agriculture.
Pour la biologiste Virginie Courtier-Orgogozo, le manque de connaissances scientifiques sur la technologie récente du forçage génétique en fait un outil dangereux aux effets incalculables.
Les résultats d'un sondage européen commandé par POLLINIS et huit autres ONG montrent que les citoyens sont opposés à la dissémination dans la nature d'organismes issus du forçage génétique.
Le forçage génétique et la technique du « ciseau génétique » CRISPR-Cas9 permettent d’éditer le vivant de manière simple et rapide. La sociologue Céline Lafontaine met en garde contre une industrialisation de l’édition génomique.
Alors que POLLINIS s’inquiète du danger de disséminer dans la nature des insectes issus du forçage génétique, un avis scientifique de l’Agence européenne de sécurité des aliments conseille indirectement de mener certains essais de terrain.
Face aux nombreux dangers que représente cette technique, POLLINIS demande au gouvernement français d'interdire la dissémination dans la nature d’OGM issus du forçage génétique.
Le 21 septembre 2020, POLLINIS adresse avec 15 organisations une lettre ouverte demandant l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique.
Le 22 juillet 2020, POLLINIS cosigne avec 15 organisations une lettre ouverte demandant l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique.