Le 21 septembre 2020, POLLINIS adresse avec 15 organisations une lettre ouverte demandant l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique.
Lors d'une consultation sur la mise en œuvre du nouveau règlement européen sur la transparence, POLLINIS a réclamé un encadrement plus strict du recours à la règle de confidentialité, souvent utilisée de manière abusive.
Une coalition d'organisations, dont POLLINIS, appelle les parlementaires à rejeter le projet de loi du gouvernement instaurant des dérogations pour l'usage des néonicotinoïdes, des pesticides interdits en France depuis 2018.
Le délégué général de POLLINIS signe exhorte les parlementaires de ne pas autoriser les « dérogations d'urgence » à l'interdiction des néonicotinoïdes.
17 organisations dont POLLINIS interpellent le ministre de l’Agriculture pour lui demander de renoncer aux dérogations sur les néonicotinoïdes, réclamées par les producteurs de betterave. L’ANSES a admis en 2018 qu’il y existait des alternatives.
POLLINIS a participé à la consultation publique sur le projet d'arrêté prévoyant une extension de la loi Labbé. L'arrêté vise à étendre au-delà des espaces verts les zones concernées par les interdictions d'usage de pesticides.
POLLINIS a participé à la consultation publique ouverte dans le cadre de la procédure de REFIT de la Directive 128 sur la protection intégrée des cultures, qui a pour objectif de réduire les risques et impacts des pesticides.
Le 22 juillet 2020, POLLINIS cosigne avec 15 organisations une lettre ouverte demandant l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique.
POLLINIS a participé à une consultation de la Commission européenne sur l'encadrement des autorisations d’urgence de pesticides. Ces dérogations permettent de continuer à utiliser des substances interdites dans l’UE.
Lors d'une réunion des ONG parties prenantes de l'EFSA, POLLINIS a présenté un exposé, du point de vue de la société civile, sur les risques liés à la révision en cours des « tests abeilles », que l'agrochimie tente d'influencer.