L'étude des lignées d'abeilles s'est longtemps appuyée sur la mesure des leurs caractéristiques morphologiques. Désormais, la génétique tente d'apporter un nouvel éclairage sur ses origines.
Au cours de la dernière période glaciaire, des abeilles installées en France se sont retrouvées confrontées à un climat impitoyable. Quelques rescapées sont devenues les abeilles noires.
La lutte contre le frelon asiatique reste coincée entre les limites du piégeage – peu efficace et peu sélectif – et les dangers de l’arme chimique – néfaste pour d’autres espèces animales et pour la santé humaine.
À l’heure d’un effondrement global de la biodiversité, la question de la conservation des espèces se pose de manière aiguë. Certains prônent la conservation en laboratoire des gènes d’espèces menacées. Mais conserver le vivant, c’est le conserver vivant !
Le plus ancien fossile d'abeille a 100 millions d'années. Depuis une décennie, les progrès de la génétique affinent nos connaissances sur son histoire évolutive.
L'Anses assure n'avoir aucun élément indiquant « un impact des fongicides SDHI sur des organismes de l'environnement ». Elle a pourtant homologué un SDHI vendu pour tuer les nématodes, les petits vers des sols.
Les études menées dans le cadre du Réseau Apiformes mis en place par l'INRA d'Avignon et la Bergerie Nationale, soutenues financièrement par les citoyens engagés aux côtés de POLLINIS, proposent un modèle pour combler le vide scientifique entourant les abeilles sauvages.