La dérégulation des nouveaux OGM proposée par la Commission pose deux problèmes majeurs : la disparition de l’agriculture biologique et le non-respect de la liberté de choix des agriculteurs et des consommateurs.
Le 15 décembre 2023, quatre-vingt organisations dont POLLINIS ont adressé une lettre à la présidente Ursula von der Leyen pour demander le maintien de la proposition de la Commission sur l’usage durable des pesticides (SUR).
Les conclusions du groupe de travail SDHI lancé par l'Anses soulèvent plusieurs points inquiétants. POLLINIS demande à nouveau au gouvernement d’appliquer le principe de précaution.
Dans une lettre au président de la République et à la Première ministre, 13 organisations alertent sur les risques liés au projet de règlement européen sur les nouvelles techniques génomiques (NTG).
Ce lundi 20 novembre, les ONG de Justice pour le Vivant ont transmis leurs arguments à la cour administrative d’appel de Paris dans leur mémoire complémentaire qui demande une amélioration de l'évaluation des risques des pesticides.
Le Conseil d’État a définitivement annulé le décret de dissolution des Soulèvements de la Terre publié cinq mois plus tôt. POLLINIS et plusieurs organisations avaient soutenu juridiquement le mouvement.
POLLINIS continue son combat contre le projet de règlement européen sur les nouveaux OGM en interpelant le ministre de l'Agriculture et en participant à une consultation de la Commission européenne.
Victoire historique en Justice contre les pesticides tueurs d’abeilles ; offensive majeure des lobbys pour empêcher le retrait d’un pesticide SDHI ; bataille en cours à Bruxelles contre la dérégulation des nouveaux OGM... Retrouvez dans ce bulletin de liaison le détail des dernières actions menées par POLLINIS.
POLLINIS et plusieurs autres organisations soutenaient les Soulèvements de la Terre lors de l'audience du 27 octobre devant le Conseil d'État qui jugera de la légalité de la dissolution.
10 associations environnementales mettent en garde, dans une tribune au Monde, contre l’autorisation des nouveaux OGM par l’Union européenne : la France doit défendre un maintien de la réglementation actuelle.