Dans un article récent, Gérard Arnold (CNRS) détaille les erreurs qu'il a relevées, en 2015, dans un rapport de l'IPBES sur les pollinisateurs. Le chapitre sur les pesticides avait été co-écrit par une salariée de l'agrochimie.
Celeste Azpiazu, écotoxicologue, a étudié les effets du sulfoxaflor et d'un SDHI sur trois espèces d'abeilles, dont les osmies. Elle souligne l'importance d’inclure les pollinisateurs sauvages et les mélanges dans le système d'homologation.
POLLINIS et trois autres ONG s'engagent dans une nouvelle étape de la bataille judiciaire contre la réautorisation temporaire des néonicotinoïdes, en déposant un nouveau recours en annulation devant le Conseil d'Etat.
Ce partenariat entre la gendarmerie et les syndicats agricoles majoritaires assimile la critique de l'agriculture conventionnelle à un dénigrement de tous les agriculteurs. Un danger pour la démocratie et pour l'environnement.
Des prémices aux tests de terrain, la mise au point de l'appareil HeatNest contre le frelon asiatique aura nécessité patience, persévérance et beaucoup d'huile de coude.
Inquiètes du lobbying des biotechnologies, 162 organisations dont POLLINIS demandent à la Commission européenne le maintien de l’encadrement strict des nouvelles générations d'organismes génétiquement modifiés.
Pour faire taire les oppositions, l’industrie agrochimique et les représentants de l’agriculture conventionnelle lancent de lourdes et onéreuses procédures judiciaires caractérisées par l’inégalité entre les parties.
Dans une lettre adressée à la commissaire européenne à la Santé, Stella Kyriakides, POLLINIS alerte sur le risque d’abaissement des niveaux de protection pour les pollinisateurs lors de l’homologation des pesticides.
Bataille contre le retour des tueurs d’abeilles en France, bras de fer européen contre l’agrochimie pour écarter les pesticides les plus dangereux… Retrouvez les dernières actions de POLLINIS dans votre bulletin de liaison.
POLLINIS a soutenu financièrement la Task Force on Systemic pesticides, un groupe international de chercheurs indépendants. Ces scientifiques ont démontré dans une méta-analyse publiée en 2015 les effets toxiques des pesticides systémiques sur la biodiversité.