POLLINIS et l'Afac comptent doubler le nombre de nouvelles haies en 2021-2022 et développer la création et la restauration de mares pour reconstruire des paysages propices aux pollinisateurs.
Aux côtés de sept organisations, POLLINIS demande au gouvernement français de s’opposer à la ré-autorisation de trois substances actives toxiques pour les abeilles : le sulfoxaflor la cyperméthrine et la benfluralin.
Avec trois autres ONG, POLLINIS adresse une lettre ouverte à la Commission européenne pour souligner ses doutes quant aux choix techniques et scientifiques actuels de l’EFSA dans le cadre de la révision des « tests abeilles ».
Dans une lettre ouverte adressée à la Commission européenne, POLLINIS et trois autres ONG pointent les failles de la révision des « tests abeilles , ces protocoles d'évaluation de la toxicité réelle des pesticides pour les pollinisateurs.
POLLINIS contribue à l'organisation en France de « Quelle voie suivre ? », une consultation citoyenne sur les bouleversements engendrés par les nouvelles technologies dans l’agriculture.
Pour la biologiste Virginie Courtier-Orgogozo, le manque de connaissances scientifiques sur la technologie récente du forçage génétique en fait un outil dangereux aux effets incalculables.
Les résultats d'un sondage européen commandé par POLLINIS et huit autres ONG montrent que les citoyens sont opposés à la dissémination dans la nature d'organismes issus du forçage génétique.
L’abeille, fugitive permanente, est impossible à retenir : en essaimant, elle dévoile son essence sauvage, sa liberté vagabonde. Peut-on réellement s’approprier l’abeille ? À qui appartiennent les essaims ? Réponse au fil des siècles.