Les ONG POLLINIS, Notre Affaire à Tous, ASPAS, Anper-Tos et Biodiversité sous nos pieds ont déposé le 17 février au Tribunal administratif de Paris le mémoire complémentaire dans le cadre de leur recours inédit contre l’État français pour manquement à ses obligations de protection de la biodiversité.
Dans une lettre ouverte à la Commission européenne, 80 ONG dont POLLINIS réclament une suspension de l'initiative de réforme de la législation sur les OGM en attendant une décision cruciale de la justice européenne sur ce dossier.
À l'initiative de POLLINIS, une vingtaine de chercheurs de renommée mondiale signent un Appel au gouvernement pour faire de l'Île de Groix un havre pour pollinisateurs.
Alors que la loi de protection des lanceurs d'alerte est en passe d’être adoptée en France, POLLINIS demande dans une lettre ouverte aux sénateurs d'adopter un texte ambitieux, un enjeu crucial pour la défense de l'environnement.
POLLINIS a participé à l’appel à contribution de la Commission européenne sur les nouvelles techniques génomiques, appelant au maintien de la réglementation sur les OGM et à l’application du principe de précaution.
Dans un document de travail, la Commission européenne envisage la dérégulation des nouveaux OGM. Une cinquantaine d'organisations en Europe, dont POLLINIS, s’opposent à cette proposition dans une lettre ouverte.
POLLINIS signe une tribune dans Libération pour alerter sur le déclin dramatique des pollinisateurs sauvages. L’ONG demande la mise en place en urgence d’un plan de transition vers l’agroécologie pour enrayer leur disparition.
28 organisations dont POLLINIS ont adressé une lettre ouverte au Président de la République demandant que la déclinaison française de la nouvelle PAC permette une sortie accélérée des pesticides.
Les dispositions prises pour faire face à la disparition des insectes pollinisateurs restent insuffisantes, notamment en ce qui concerne le système d’évaluation des pesticides, souligne Nicolas Laarman.
Dans une tribune publiée par Libération, Nicolas Laarman, délégué général de POLLINIS, demande que la France se dote d’un système d’évaluation capable de retirer les pesticides toxiques qui précipitent l’extinction des pollinisateurs.