28 organisations dont POLLINIS ont adressé une lettre ouverte au Président de la République demandant que la déclinaison française de la nouvelle PAC permette une sortie accélérée des pesticides.
Les dispositions prises pour faire face à la disparition des insectes pollinisateurs restent insuffisantes, notamment en ce qui concerne le système d’évaluation des pesticides, souligne Nicolas Laarman.
Dans une tribune publiée par Libération, Nicolas Laarman, délégué général de POLLINIS, demande que la France se dote d’un système d’évaluation capable de retirer les pesticides toxiques qui précipitent l’extinction des pollinisateurs.
Inquiètes du lobbying des biotechnologies, 162 organisations dont POLLINIS demandent à la Commission européenne le maintien de l’encadrement strict des nouvelles générations d'organismes génétiquement modifiés.
Aux côtés de sept organisations, POLLINIS demande au gouvernement français de s’opposer à la ré-autorisation de trois substances actives toxiques pour les abeilles : le sulfoxaflor la cyperméthrine et la benfluralin.
Avec trois autres ONG, POLLINIS adresse une lettre ouverte à la Commission européenne pour souligner ses doutes quant aux choix techniques et scientifiques actuels de l’EFSA dans le cadre de la révision des « tests abeilles ».
POLLINIS a participé à la consultation sur le projet d’arrêté ré-autorisant l’emploi de néonicotinoïdes et encourage ses sympathisants à faire de même, rappelant que les mesures d’atténuation n’auront qu’un effet négligeable.
Dans une tribune publiée dans le quotidien « Libération », POLLINIS réclame aux côtés de plusieurs syndicats et associations l'élaboration d'une loi protégeant efficacement les lanceurs d'alerte.
Le processus d’homologation des pesticides de l’Union européenne n’est pas en mesure de renverser la courbe de l'extinction des insectes ailés, alerte dans une tribune au « Monde » Nicolas Laarman.
POLLINIS demande à deux ministres (Agriculture et Transition écologique) de défendre des niveaux de protection efficaces pour les lignes directrices qui serviront à évaluer l’impact réel des pesticides sur les pollinisateurs.