Le 15 décembre 2023, quatre-vingt organisations dont POLLINIS ont adressé une lettre à la présidente Ursula von der Leyen pour demander le maintien de la proposition de la Commission sur l’usage durable des pesticides (SUR).
Le Conseil d’État a définitivement annulé le décret de dissolution des Soulèvements de la Terre publié cinq mois plus tôt. POLLINIS et plusieurs organisations avaient soutenu juridiquement le mouvement.
POLLINIS continue son combat contre le projet de règlement européen sur les nouveaux OGM en interpelant le ministre de l'Agriculture et en participant à une consultation de la Commission européenne.
POLLINIS et plusieurs autres organisations soutenaient les Soulèvements de la Terre lors de l'audience du 27 octobre devant le Conseil d'État qui jugera de la légalité de la dissolution.
La firme agrochimique BASF et le lobby CropLife Europe ont demandé à intervenir dans le recours de POLLINIS contre la prolongation de l’autorisation du boscalid, un fongicide SDHI.
Dans deux lettres du 9 juin, POLLINIS et 82 autres associations ont demandé à la Commission européenne et aux eurodéputés d’améliorer l'évaluation des risques des pesticides en Europe.
Depuis 2020 et avec le soutien de POLLINIS, le biologiste Fabrice Requier étudie les colonies sauvages d’abeilles à miel. Il s'agit notamment de savoir si ces dernières peuvent survivre sans aucune intervention humaine.
Le 16 mai dernier, 340 organisations dont POLLINIS ont appelé le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, à maintenir les obligations d'étiquetage et de traçabilité pour toutes les générations d'OGM.
Saisie par plusieurs associations, dont POLLINIS, le Conseil d’État a confirmé l’annulation des dérogations permettant aux betteraviers d'utiliser des semences enrobées de néonicotinoïdes en 2021 et 2022, tournant ainsi définitivement la page de ces insecticides tueurs d'abeilles, 7 ans après leur interdiction.
La Commission européenne vient de répondre au million de signataires de l’Initiative Citoyenne Européenne (ICE) « Save Bees and Farmers ». Si l'exécutif affirme soutenir l’ICE, il réaffirme les objectifs actuels et insuffisants de 50 % de réduction en 2030.