POLLINIS mobilise ses sympathisants sur la question cruciale des pesticides lors de la consultation publique sur le « Plan Pollinisateurs » du gouvernement. L’ONG demande une mise à jour scientifique du système d’évaluation.
En amont d'une réunion cruciale, POLLINIS adresse une lettre à Julien Denormandie pour demander que la France défende un taux de « mortalité acceptable » minimal pour les abeilles confrontées aux pesticides.
POLLINIS a accompagné La Vallée de l'abeille noire durant sept ans, un projet qui allie culture, agriculture et conservation. Aujourd'hui, le projet vole de ses propres ailes et inspire bien des initiatives.
Il y a plus de dix ans, l'apiculteur Yves Élie a aménagé La Vallée de l'abeille noire, au cœur des Cévennes, grâce au soutien de POLLINIS. Il a tiré de cette expérience un livre, publié en avril aux éditions Actes Sud.
Alors que le nouveau « Plan pollinisateurs » du gouvernement doit être finalisé, POLLINIS propose des pistes pour protéger davantage les pollinisateurs des pesticides et encadrer plus strictement les éventuelles dérogations.
Une étude met en évidence la toxicité renforcée du mélange entre le sulfoxaflor et un fongicide SDHI, ainsi que la vulnérabilité des abeilles sauvages – deux angles morts du processus d’homologation des pesticides.
POLLINIS et l'Afac comptent doubler le nombre de nouvelles haies en 2021-2022 et développer la création et la restauration de mares pour reconstruire des paysages propices aux pollinisateurs.
Avec trois autres ONG, POLLINIS adresse une lettre ouverte à la Commission européenne pour souligner ses doutes quant aux choix techniques et scientifiques actuels de l’EFSA dans le cadre de la révision des « tests abeilles ».
POLLINIS contribue à l'organisation en France de « Quelle voie suivre ? », une consultation citoyenne sur les bouleversements engendrés par les nouvelles technologies dans l’agriculture.