Dans le parc de la Vanoise, POLLINIS lance un recensement des pollinisateurs sauvages. Une étude qui vise à comprendre les facteurs qui influencent l'évolution de ces populations dans cet espace préservé.
Depuis 2020, POLLINIS et l'Asan GX mène avec l'écologue Violette Le Féon un inventaire des abeilles sauvages de l’Île de Groix. L'objectif : mieux connaître les espèces présentes dans cet environnement unique et préservé.
Le festival « Bee Natural » en Italie a mis à l’honneur de belles initiatives apicoles et de recherches autour des abeilles à miel vivant à l’état sauvage, dont celles de POLLINIS.
Tout aussi grave que le déclin des abeilles domestiques, l’effondrement des pollinisateurs sauvages est pourtant peu médiatisé. L’agriculture intensive et son usage immodéré des pesticides est l'une des principales causes de leur dépérissement.
Dans un recueil de 23 nouvelles désopilantes, Philippe Guerlet emmène son lecteur à la découverte des menaces qui pèsent sur les animaux sauvages. Le chapitre consacré au retour des néonicotinoïdes en France offre une tribune à POLLINIS.
Depuis plus de 20 ans, Philippe Boyer photographie dans le bois de Vincennes les abeilles sauvages, donnant à voir l'intimité fascinante de ces insectes méconnus ainsi que leur incroyable diversité.
POLLINIS cosigne avec quatre ONG un communiqué dénonçant le manque d’action de l’UE pour protéger les pollinisateurs. La Cour des comptes européenne a publié le 9 juillet 2020 un rapport accablant sur l'échec des initiatives de protection.
Alors que les études sur le déclin accéléré des populations d'insectes se multiplient, les scientifiques appellent à une réaction urgente face à cette tragédie silencieuse.
Nouveau membre de l’UICN, POLLINIS rejoint cette communauté investie dans la sauvegarde de la biodiversité pour porter au plus haut niveau l’importance des pollinisateurs et de leur protection dans la nature.
À l’heure d’un effondrement global de la biodiversité, la question de la conservation des espèces se pose de manière aiguë. Certains prônent la conservation en laboratoire des gènes d’espèces menacées. Mais conserver le vivant, c’est le conserver vivant !