Cette étude met en évidence la toxicité renforcée du mélange entre le sulfoxaflor et un fongicide SDHI, ainsi que la vulnérabilité des abeilles sauvages qui y sont exposées.
Spécialiste des controverses liées aux enjeux de santé environnementale, le sociologue Jean-Noël Jouzel revient sur l’histoire et les failles de la science règlementaire, qui encadre la mise sur le marché des pesticides.
Générations Futures, POLLINIS, Terre d'abeilles, SNA, justice pesticides, FNE et AMLP déposent des recours contre l’arrêté du 5 février 2021 réautorisant les insecticides tueurs d’abeilles et demandent l’annulation de ce texte.
Une étude met en évidence la toxicité renforcée du mélange entre le sulfoxaflor et un fongicide SDHI, ainsi que la vulnérabilité des abeilles sauvages – deux angles morts du processus d’homologation des pesticides.
Pour contourner les interdictions frappant les néonicotinoïdes, l’industrie agrochimique est parvenue à faire homologuer des insecticides au mode d'action équivalent, en inventant de nouvelles catégories.
POLLINIS et l'Afac comptent doubler le nombre de nouvelles haies en 2021-2022 et développer la création et la restauration de mares pour reconstruire des paysages propices aux pollinisateurs.
Aux côtés de sept organisations, POLLINIS demande au gouvernement français de s’opposer à la ré-autorisation de trois substances actives toxiques pour les abeilles : le sulfoxaflor la cyperméthrine et la benfluralin.
Avec trois autres ONG, POLLINIS adresse une lettre ouverte à la Commission européenne pour souligner ses doutes quant aux choix techniques et scientifiques actuels de l’EFSA dans le cadre de la révision des « tests abeilles ».
Dans une lettre ouverte adressée à la Commission européenne, POLLINIS et trois autres ONG pointent les failles de la révision des « tests abeilles , ces protocoles d'évaluation de la toxicité réelle des pesticides pour les pollinisateurs.