Pour éclairer la dimension économique du secteur des pesticides, le BASIC, le CCFD-Terre Solidaire et POLLINIS publient un rapport intitulé « Pesticides : un modèle qui nous est cher » sur les coûts générés par cette industrie.
La version finale de son Plan pollinisateurs et de « l'arrêté abeilles » qui le complète n'ont repris aucune des propositions du Conseil national de la protection de la nature (CNPN) sur le volet pesticides.
Le Plan pollinisateurs 2021-2026 ne s’attaque toujours pas à la question fondamentale des pesticides, pourtant principaux responsables de l'extinction en cours.
« Avec cette analyse, l’EFSA valide une politique déplorable : utiliser des blocages techniques ponctuels pour maintenir le système actuel, quelles qu’en soient les conséquences sur l’environnement et notre santé », fustige Nicolas Laarman.
L'outil juridique est un levier efficace pour renforcer le droit de l'environnement, encore peu robuste face aux enjeux, selon la juriste de Notre Affaire à Tous, Chloé Gerbier.
Habitués à une plus grande opacité sur ce dossier, les représentants des les États membres ont piteusement gardé le silence sur leurs manquements lors d’une conférence du Parlement européen.
POLLINIS signe une tribune dans Libération pour alerter sur le déclin dramatique des pollinisateurs sauvages. L’ONG demande la mise en place en urgence d’un plan de transition vers l’agroécologie pour enrayer leur disparition.
Signée par plus d'un million de citoyens, l’ICE « Sauvons les abeilles et les agriculteurs ! » met la question de l'arrêt des pesticides devant la Commission européenne.
28 organisations dont POLLINIS ont adressé une lettre ouverte au Président de la République demandant que la déclinaison française de la nouvelle PAC permette une sortie accélérée des pesticides.