L'Anses assure n'avoir aucun élément indiquant « un impact des fongicides SDHI sur des organismes de l'environnement ». Elle a pourtant homologué un SDHI vendu pour tuer les nématodes, les petits vers des sols.
L'Anses refuse toujours d'appliquer le principe de précaution sur les fongicides SDHI, malgré leurs risques potentiellement dévastateurs sur la santé et la biodiversité dénoncés par un collectif de scientifiques.
La pétition de POLLINIS pour un retrait immédiat des pesticides SDHI vient de dépasser les 285 000 signatures uniques alors que la campagne est toujours en cours.
Interviews de Paule Bénit, ingénieure de recherches à l'Inserm, spécialiste des maladies mitochondriales & Pierre Rustin, directeur de recherches au CNRS/Inserm, physiopathologie et thérapie des maladies mitochondriales.
Dans une tribune du journal Le Monde, Nicolas Laarman, délégué général de POLLINIS, dénonce le fait que le texte législatif qui devait mieux protéger des pesticides les insectes pollinisateurs ait été vidé de sa substance.
POLLINIS publie une note de synthèse sur le lobbying des firmes de l'agrochimie qui pourrait amener l'Europe à se priver du seul outil scientifique ambitieux et pragmatique qui permettrait d'enrayer le déclin des pollinisateurs.
Impact des pesticides sur les pollinisateurs : POLLINIS dénonce le recul de la Commission européenne et la mainmise des lobbys sur les procédures d'homologation des pesticides.
La mobilisation massive des citoyens suite à l’appel lancé par POLLINIS à participer à la consultation publique de la Commission européenne sur les pesticides s’est vue freinée par une multiplication de « bugs ».