POLLINIS a participé à l’appel à contribution de la Commission européenne sur les nouvelles techniques génomiques, appelant au maintien de la réglementation sur les OGM et à l’application du principe de précaution.
Dans un document de travail, la Commission européenne envisage la dérégulation des nouveaux OGM. Une cinquantaine d'organisations en Europe, dont POLLINIS, s’opposent à cette proposition dans une lettre ouverte.
Alors que les appétits s'aiguisent autour de la biologie de synthèse, un groupe d’opposants, dont POLLINIS, est parvenu à imposer le principe de précaution dans une motion sur son utilisation dans la conservation du vivant, au congrès mondial de l'UICN.
Le Congrès mondial de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a voté la 10 septembre une motion questionnant l'utilisation des modifications génétiques pour la conservation de la nature.
Dans un rapport publié avec le soutien de POLLINIS, l'organisation Save Our Seeds détaille les risques induits par la pratique du forçage génétique sur les êtres vivants et demande un moratoire mondial.
Inquiètes du lobbying des biotechnologies, 162 organisations dont POLLINIS demandent à la Commission européenne le maintien de l’encadrement strict des nouvelles générations d'organismes génétiquement modifiés.
POLLINIS contribue à l'organisation en France de « Quelle voie suivre ? », une consultation citoyenne sur les bouleversements engendrés par les nouvelles technologies dans l’agriculture.
Pour la biologiste Virginie Courtier-Orgogozo, le manque de connaissances scientifiques sur la technologie récente du forçage génétique en fait un outil dangereux aux effets incalculables.
Les résultats d'un sondage européen commandé par POLLINIS et huit autres ONG montrent que les citoyens sont opposés à la dissémination dans la nature d'organismes issus du forçage génétique.